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La dernière légion

Publié le par Lionel Droitecour

Quand le vilain Odoacre, roi des Goths menace de passer au fil de son glaive le jeune Romulus Augustule, ultime empereur romain...

Quand le vilain Odoacre, roi des Goths menace de passer au fil de son glaive le jeune Romulus Augustule, ultime empereur romain...

Aimable approximation calembourdesque (mais non cauchemardesque) pour vous causer de ma dernière lésion.

Au demeurant le film éponyme est un excellent divertissement que je vous recommande. En VO de préférence, histoire de vérifier que Colin Firth ne bégaie pas, quand il joue un général romain plutôt qu’un roi (il y a, notamment, à la fin du film, une petite astuce de scenario des plus réjouissantes...).

Or donc voici que je m’en reviens de l’Hautepital d’Hôtepierre, pour une visite à l’excellent professeur qui opéra naguère en mes organes.

Ainsi ai-je pu déposer mes plaintes en son parquet.

Pour citer Didier Bourdon, dans un sketch célèbre, ( Télé matin, in - in !) « j'ai beau être matinal, j'ai mal ». Et fort heureusement ledit chirurgien ne me fit pas savoir qu’il n’en n’avait rien à cirer : je me considère donc verni. Mais il décela dans le moignon de mon ognon la suspecte présence d’une possible « Lésion huileuse ». Huileuse ? À défaut de savoir de quel bois je me chauffe on saura tantôt de quel corps gras je m’onctionne avec componction.

Olive, colza, arachnide, tourne au sol ou vase, Line ?

Eh bien rien de tout ça. Vous avez mal compris mon cher (et ma chair). C’est « VILLEUSE » qu’elle est, la région de ma légion. C’est pas pareil, comme on dit chez Cora (perso, je vous invite à découvrir Vaucaire plutôt que le l’Hyper du coin). Citadine en ville, si tu dîne en vie l’heure gueuse envie l’heure heureuse. Bon ok, ça devient stratosphérique, je redescends sur terre.

Quoi donc que c’est-y qu’une lésion villeuse ?

Ne comptez pas sur moi pour entrer dans les détails de ce bétail là. Wikipedia le fera très bien à ma place, mais je vous préviens les images sont gores, mes gorets. Disons pour faire « pouetique » que c’est une excroissance qui présente vaguement l'aspect d’une framboise. Et restons-en là.

Tagada te suinte, te suinte.

La dernière légion
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I
Enfin la Matrice me laisse quelque répit pour revenir à l'essentiel, qui n'est nullement dans Lactel, quoi qu'on ait pu en dire...<br /> Donc la lésion vile ose, pourvu qu'elle n'ose pas trop et quitte ton séant à fond de train ! <br /> J'espère que malgré ces contretemps tu gardes le moral et que nous te reverrons bientôt parmi nous, prends le temps de la con-valescence et de l'exploration intérieure, spirituelle s'entend, le physique d'autres s'en chargent...<br /> Bon courage, le Glaude
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B
Eh bien si j'osais cher auguste, je ramènerais ma fraise pour signaler qu'enfin, en des temps peu lointains, en des lieux moins obscurs (quoique...), nous goûtions la framboise; tel un fruit défendu, que la pie n' happât !<br /> Et puis pour faire pendant, au professeur si chair, qui &quot;naguère OPERA&quot;, permettez-moi ceci, qui réconciliera :<br /> <br /> http://vimeo.com/33197560
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L
Ce que la pie n'happa pas ne nappa pas non plus les appâts, et vous noterez, cher Bibi qui frotte, hein (sans menu fretin) que cet amas ment qui lave, aidant le culte.<br /> Ce qui ne risque plus de m'arriver, comme disait Marivaux, sans rivaux.
B
Il ne vous aura bien sûr pas échappé qu'après la pie un petit &quot;pas&quot; manquât...