Si, mioche, t’es rapide
Il ya des mots qui résistent aux calembours.
Jeux de mots laids pour gens bêtes, lit-on parfois. Calembredaines calant bedaine, mais pas ta caisse au pataquès.
Celui qui vient s’inviter dans ma vie, désormais, fait partie de ceux là. Si, moche, t’erre à Pise, ou ailleurs, voire à Strasbourg, il va te falloir faire connaissance avec un nouveau membre de la famille Strauss. Je pratiquais déjà Johann, père et fils, valseurs viennois, Richard, sublime auteur des « Vier letzte Lieder ». Il va falloir qu’on serre la louche à Paul.
Quand sert la chose, pourquoi s’y refuser ?
Et puisqu’il le faut, hein. Pie, rat, terre, mis aux cimes ne déciment. M’attendent donc les déambulations ambulatoires à intervalles de temps réguliers pour tenter de mater la bête à grands coups de signaux, ter, à pique.
C’est là, semble-t-il, mon meilleur atout.