Au drain où vont les choses...
De collections en connexions, de proches en poches, et la chaleur aidant, je me sens bien un peu flapi.
Hanté par ma santé chantée entre ces pages, mais sans cépage, sans page et sans ambages, je vous dis cet édit : le temps commence à me paraître long. Avec ou sans mainate, je me languis de mes pénates, volontiers j’irai, à la sauvette, rue des fauvettes.
Là où ma vie me convie.
Il me faut, malgré tout, prendre mon pal en ma science et mon mal en patience. Noir est l’humour, hoir de l’espoir : aux jeux de mots lestes, je leste mon jeûne et mes maux, peste ! Ne brûlons pas les étapes, ne tapons pas les brûlots, chaque chose en son temps autant que chaque prose en son champ. Fut-ce au déchant de ces hors-champs.
Pour parler haut, de ce festin de pierre, de Hautepierre je reste l’hôte. Mais jusqu’à quand, (A caen ? Non à Strasbourg !) ?
Je l’ignore, monsignore.